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Sommaire
Volume 4, no 3
CAP Finance : repositionnement et perspectives

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CAP finance : repositionnement et perspectives


Benoît Lévesque
Professeur émérite (UQAM) et professeur associé (ÉNAP)


En 2002, Nancy Neamtan, codirectrice, et moi-même, co-directeur de l’Alliance de recherche universités-communautés en économie sociale (ARUC-ÉS), qui existait alors depuis deux ans, avons décidé de créer un Chantier d’activités partenariales (CAP) dans le domaine du capital de développement et de la finance solidaire en réunissant des chercheurs de plusieurs universités et des intervenants provenant des deux fonds de travailleurs (capital de développement) et de fonds dédiés à l’économie sociale (finance solidaire). Jusque-là, nous pensions que le CAP développement local et régional pouvait être le lieu pour prendre en compte la finance solidaire et responsable. Mais il est apparu assez rapidement que la question du financement était transversale à tous les secteurs d’activités de l’économie sociale (ex. habitation, services aux personnes, tourisme social, etc.) et donc non exclusive au développement régional et local bien que plusieurs fonds régionaux et locaux s’y retrouvaient. De plus, pour créer un CAP dédié au capital de développement et à la finance solidaire, nous avions les deux principales conditions exigées, soit l’existence d’une grappe d’entreprises ou d’organisations engagées dans ce domaine et un groupe suffisant de chercheurs de diverses universités s’y intéressant (voir l’Annexe 1 : la liste des professeurs-chercheurs).

Ainsi, une grappe de fonds d’investissement relevant de l’économie sociale avait émergé au cours des dernières années : le Fonds de solidarité des travailleurs FTQ en 1983, le Fondaction CSN pour la coopération et l’emploi en 1996 et le Capital régional et coopératif Desjardins en 2001 pour les investissements visant des objectifs socio-économiques (emploi, développement régional, formation des travailleurs, bilan social et responsabilité sociale, ce que nous appelons capital de développement), et les entreprises dédiées principalement ou partiellement à l’investissement dans l’économie sociale. De ces dernières, on comptait la Caisse d’économie solidaire Desjardins, qui existait depuis 1971 mais qui s’était repositionnée plus explicitement vers l’économie solidaire, le Réseau d’investissement social du Québec (RISQ) créé en 1997, le Réseau québécois du crédit communautaire en 2000, le Filaction, le fonds pour l’investissement local et l’approvisionnement de fonds communautaires en 2001 et la Fiducie du Chantier de l’économie sociale qui s'est ajoutée en 2007.

Par ailleurs, des chercheurs de plusieurs universités québécoises (Concordia, Université Laval, Université de Sherbrooke, UQAM, UQAH – UQO, UQAC et UQAR) avaient entrepris des recherches sur les fonds de développement à partir de 1995 en créant un groupe de recherche, PROFONDS-CRISES, qui réunissait également des représentants des fonds étudiés. Ce groupe a réalisé de nombreux inventaires et études des fonds de développement (voir la bibliographie 2, à la fin du texte). En somme, en 2002, nous avions les bases (chercheurs et institutions financières) pour créer un CAP finance au sein de l’ARUC en économie sociale. Rappelons qu’un CAP se définissait comme un lieu de coordination partenariale de la recherche dans un domaine donné, soit d’élaboration d’une programmation, la mise en œuvre de projets de recherche et de diffusion et plus largement un espace de réflexion et de transfert entre intervenants et chercheurs, s’approchant ainsi d’une communauté de pratique (même si le terme n’était pas utilisé).

tableau1

Les deux ensembles que sont le capital de développement et la finance solidaire se distinguent quant à leur mission mais se rejoignent par leur appartenance à la grande famille de l’économie sociale. Dans cette perspective, ces deux ensembles contribuent à leur façon à la démocratisation de l’économie et, en s’inscrivant dans la finance responsable, participent au développement durable, tout en se préservant des dérives de la financiarisation. Telle était la vision commune présidant à leur participation à un même Chantier d’activités partenariales (CAP).

Contexte immédiat de création d’un nouveau CAP finance

Après dix ans d’opération (1999-2009), l’ARUC en économie sociale, qui était financée principalement par le Conseil de recherche en sciences humaines (CRSH) du Canada et de manière significative par les partenaires (universités et entreprises), était donc arrivée à son terme comme il était prévu au départ (il s’agissait d’un programme qui devait durer au plus dix ans).  Ainsi, en 2009, tous les CAP de l’ARUC-ÉS ont mis fin à leurs activités après en avoir fait un bilan de leurs activités et avoir identifié les suivis possibles, tout en prenant en considération que le financement du CRSH cessait et avec lui l’accompagnement d’un agent de liaison et le financement de la recherche et de la formation qui lui était associée.

Rappelons aussi qu’en 2002, le CAP finance, dont la direction avait été assurée conjointement par Marguerite Mendell de l’Université de Concordia et par Gilles Bourque de Fondaction et Pascale Caron de la Caisse d’économie solidaire, avait connu un démarrage progressif mais très constant. Il s’était caractérisé à la fois par une forte implication des représentants des institutions financières et une réflexion en profondeur sur les activités même du capital de développement et de la finance solidaire. De plus, le transfert des connaissances pour les intervenants avait été important comme en témoignent la recherche et la réflexion sur la possibilité d’un marché secondaire pour le financement de l’économie sociale. Enfin, ceci nous semble très important, la mise en relation d’intervenants provenant des deux fonds de travailleurs (capital de développement) avec ceux œuvrant dans la finance solidaire avait permis de produire non seulement une meilleure connaissance des spécificités de chacun mais aussi de découvrir ce qu’ils avaient en commun, soit un engagement pour une finance différente, une autre finance capable d’investir différemment et même d’inspirer les pratiques de l’ensemble du secteur (Bourdeau et Mendell, 2010, Mendell et Lévesque, 2003).

On comprendra dès lors que les chercheurs et les intervenants se sont rapidement mis d’accord en 2009 pour que le CAP finance ne mette pas fin à ses activités, malgré la fin du financement du CRSH et des universités participantes. Ainsi, le 2 décembre 2009, soit à la veille d’un important colloque international sous le thème, la « finance socialement responsable : enjeux et perspectives », organisé par le CAP finance de l’ARUC-ÉS à l’Université Concordia pour couronner la fin de ses activités (Bourdeau et Mendell, 2010), les dirigeants des sept institutions financières membres du CAP finance décidèrent de fonder un nouveau CAP finance, le réseau de la finance solidaire et responsable, qui serait complètement autonome du financement universitaire. À cette occasion, les membres fondateurs adoptaient à la fois une Charte de la finance solidaire et responsable, qui définissait dans ses grandes lignes la mission, la vision et les valeurs, et les règlements généraux du nouveau CAP prenant la forme d’une organisation sans but lucratif (les deux documents sur le site du CAP finance).

En somme, au moment où le CAP finance de l’ARUC-ÉS cessait ses activités en 2009, un nouveau CAP finance, le réseau de la finance solidaire et responsable naissait sur la base principale de l’engagement non plus des universités mais des institutions signataires, membres fondateurs. Même s’il était question d’élargir le membership, les membres fondateurs étaient ceux-là même qui avaient travaillé ensemble depuis dix ans, soit la Caisse d’économie solidaire Desjardins, la Fiducie du Chantier de l’économie sociale, Filaction, le fonds pour l’investissement local et l’approvisionnement de fonds, Fondaction, le Fonds de développement de la CSN pour la coopération et l’emploi, le Fonds de solidarité des travailleurs du Québec, le Réseau d’investissement social du Québec et le Réseau québécois du crédit communautaire.

Repositionnement et nouvelles perspectives

Conscients sans doute que le nouveau CAP finance devait se repositionner et se redéfinir à bien des égards, les dirigeants des institutions financières qui constituaient désormais la base principale du nouveau CAP avec la collaboration de quelques chercheurs, dont Marguerite Mendell, me demandèrent d’assumer temporairement la présidence du conseil d’administration, le temps de procéder à une opération de planification stratégique (j’avais déjà présidé de telles démarches pour le CIRIEC-Canada à la fin des années 1990 et pour le Conseil scientifique du CIRIEC-International entre 2002 et 2004, sans oublier une participation au comité en charge d’une telle opération à Centraide du Grand Montréal). J’acceptai donc, tout en sachant que le travail de repositionnement était déjà entrepris et qu’à bien des égards il s’agissait de valider des orientations en grande partie déjà définies dans leur grande ligne.

tableau2

À la première réunion du conseil d’administration du nouveau CAP finance, je proposai un schéma et un plan de travail. Le schéma, qui s’inspirait des travaux respectifs et conjoints de collègues qui ont travaillé sur la stratégie dans les entreprises d’économie sociale (Malo et Vézina, 2004; Malo, 2001;Vézina, 2003; Vézina et Legrand, 2002), laissait voir que les orientations stratégiques doivent se situer au moins sur deux axes : l’axe de la perspective (ce que nous voulons être – vision – compte tenu de notre mission, de notre raison d’être, soit un positionnement par rapport à soi), d’une part, et l’axe du positionnement par rapport aux autres et plus largement par rapport à l’environnement, d’autre part. Les priorités et les activités se doivent de tenir compte de ces deux axes. S’en tenir au seul positionnement par rapport aux autres et à l’environnement risque ne nous faire oublier notre raison d’être et ce à quoi nous aspirons (valeurs et convictions). De même, s’en tenir à la seule perspective (vision et mission) peut entraîner notre disparition ou encore la perte de la raison d’être de l’organisation.

En s’appuyant sur ce schéma, « perspectives et positionnement », nous avons proposé un plan de travail. Réunion 1 : adoption du plan de travail et compréhension commune de la charte et des statuts (mission); réunion 2 : vision, valeurs et mission; réunion 3 : positionnement et environnement; réunion 4 : priorités et axes d’activité; réunion 5 : gouvernance – plan d’activité et budget; réunion 6 : activité de lancement du CAP finance.

Pour réaliser ce plan de travail, nous disposions de divers documents révélant l’avancement de la réflexion et des recherches du CAP finance:

- la Charte du CAP et les Règlements généraux adoptés le 2 décembre 2009,
- trois propositions pour l’avenir du capital de développement et de la finance solidaire  (Comité Investir solidairement [1], 2006),
- les réseaux internationaux de la finance solidaire (Hanin, Zwick, Mendell et Bourque, 2008),
- le bilan du colloque « Finance socialement responsable : enjeux et perspectives», CAP finance (Bourdeau et Mendell, 2010),
- l’inventaire de la finance responsable (Bourque, Mendell et Rouzier, 2009).

Dans le cadre des diverses réunions de l’année 2010, tous les membres ont accepté à un moment ou l’autre de poursuivre les recherches et d’élargir les consultations pour appuyer avec plus de rigueur leurs décisions.

Dans le rapport annuel des activités du CAP finance pour l’année 2010, on retrouve un compte rendu synthétique des principales décisions prises dans le cadre de l’opération de planification stratégique (CAP finance, 2010). Sans reprendre exactement ce que nous avons rédigé à l’époque, nous rappellerons deux ou trois questions qui ont exigé beaucoup de réflexion. La question de la vision et de la mission était suffisamment bien définie pour n'y apporter que des modifications très mineures alors que leur examen a permis une meilleure compréhension de l’ensemble (voir la Charte et son préambule). L’originalité du CAP finance réside d’une part dans la prise en charge simultanément du capital de développement et de la finance solidaire (nulle part ailleurs dans le monde, on ne trouve pareille mise en relation) et, d’autre part, dans la volonté non seulement d’adopter des pratiques relevant de la finance socialement responsable mais de l’inscrire dans une vision plus large visant la transformation du monde de la finance, à partir principalement du renouvellement des pratiques financières (ce qui traduit la vision à long terme, la transformation de la finance, avec ses incidences sur le quotidien, le renouvellement des pratiques financières).

Dans cette perspective, le CAP finance s’est donné pour mission de « promouvoir et développer la finance solidaire et le capital de développement, de développer l’expertise des professionnels du Réseau et de faire la promotion de l’investissement responsable dans le grand public et auprès des différentes parties prenantes » (Charte du CAP finance, 2010). Le cœur de cette mission est le réseautage des acteurs financiers du capital de développement et de la finance solidaire et le développement de l’expertise des professionnels du réseau capital de développement et finance solidaire, tout en favorisant la responsabilité sociale des intervenants. Cet élément de la mission résulte d’un consensus fort qui n’est pas sans conséquence à la fois sur les activités priorisées et sur le membership du réseau.

Les activités du CAP finance, qui ont été retenues prioritairement, sont 1) le réseautage, 2) l’information, 3) la formation et le développement des compétences, 4) la recherche. Pour assurer la mise en œuvre et le suivi, trois comités ont été formés :

- un comité information, communication et représentation : responsable de la  stratégie de communication et du développement des outils d’information (Gilles L. Bourque);
- un comité recherche : travailler en partenariat avec les structures de recherche universitaire (Chaires et Centres de recherche), réaliser les portraits bisannuels (Marguerite Mendell);
- un comité communauté de pratique : partage d’expériences et de pratiques, continuité et engagement des membres, développement des expertises (Mario Hébert de Fondaction).

À bien des égards, ces comités recouvraient des activités qui avaient été conduites dans le cadre de l’ARUC en économie sociale. Toutefois, avec le nouveau CAP finance, le réseau de la finance responsable (capital de développement et finance solidaire), le contexte et les soutiens étaient différents. De même, le membership devait être repensé.

Pour définir le membership du nouveau CAP finance, compte tenu de la mission et de la vision, un consensus s’est imposé sur la nécessité d’élargir en invitant par exemple le Capital région et coopération Desjardins comme partie prenante du capital de développement et les groupes de soutien au développement communautaire et local tels les SADC, les CLD et les CDEC. En même temps, il y avait la crainte de perdre le spécifique du CAP finance dont l’un des objectifs était le développement des compétences des professionnels de la finance solidaire et responsable. Après consultation des parties prenantes, analyse des réseaux semblables existant à l’international (Hanin et Wick, 2008) et examen de diverses hypothèses, nous en sommes venus à retenir quatre catégories de membres :

les membres fondateurs : les sept institutions à l’origine du CAP et qui ont adhéré à la Charte de l’investisseur solidaire et responsable; elles sont membres permanents du Réseau à moins que l’une ou l’autre ne se retire ou ne soit exclue selon les règlements généraux;
les membres investisseurs, qui peuvent être admis par le conseil d’administration, sont des « personnes morales, qui sont à propriété collective ou ont une gouvernance de nature syndicale, coopérative ou communautaire, et qui sont des intervenants dont la mission principale ou exclusive concerne l’investissement en entreprise et qui œuvrent significativement dans le financement d’entreprise d’économie sociale et qui, par résolution de leur instance de gouvernance, adhèrent à la Charte » (art. 3.3, Règlements généraux, CAP finance).
les membres partenaires, qui peuvent être admis par le conseil d’administration, sont « des regroupements de personnes morales à propriété collective ou ayant une gouvernance de nature syndicale, coopérative ou communautaire, dont les membres œuvrent significativement dans le financement d’entreprise d’économie sociale et qui par résolution de leur instance de gouvernance, adhèrent à la Charte » (art. 3.4).
les membres associés, qui peuvent être admis par le conseil d’administration, sont « des personnes morales et des personnes physiques qui sont des intervenants dans le développement de l’économie sociale et le développement local ou des chercheurs ou groupes de recherches intéressés aux enjeux de la finance solidaire et responsable et qui, par résolution de leur instance de gouvernance, s’il y a lieu, adhèrent à la Charte » (art. 3.5).

À titre d’exemple, comme « membre investisseur » potentiel, mentionnons le Capital régional et coopératif Desjardins (qui n’est pas membre pour le moment), comme « membre partenaire », l’Association des Centres locaux de développement (CLD) qui, depuis, est devenue membre du CAP finance (autres membres partenaires potentiels, le réseau des SADC, celui des CDEC), comme « membre associé » relevons les universitaires et le professionnels intéressés aux enjeux de la finance solidaire et responsable. Toutes les catégories de membres ont droit de parole et de vote aux assemblées générales, à l’exception des membres associés qui ont droit de parole mais pas de vote. Enfin, un représentant de chacun des 7 membres fondateurs fait partie du conseil d’administration (soit 7 administrateurs), 2 représentants des membres investisseurs (2 administrateurs), 2 représentants des membres partenaires (2 administrateurs) et 2 représentants des membres associés (2 administrateurs) pour un total de 13 administrateurs élus par l’assemblée générale.

Conclusion

Le lancement du nouveau CAP finance à la fin de 2010 s’est fait lentement à travers, entre autres, la poursuite des activités d’information et de recherche, le travail du comité Investir solidairement dans le cadre du Forum international de l’économie social et solidaire (FIESS) qui s’est tenu 17 au 20 octobre 2011. Le nouveau président, Paul Ouellet (directeur de la Caisse d’économie solidaire), est assisté de deux vice-présients, Jacques Charest (directeur de la Fiducie du Chantier de l’économie sociale) pour la vice-présidence Finance solidaire et Michel Taylor (du Fonds de solidarité de la FTQ) pour la vice-présidence Capital de développement. Quelques semaines avant son lancement en décembre 2010, le CAP finance a perdu deux représentants des membres fondateurs qui sont retournés dans leur pays d’origine : Pascal Caron qui avait assumé la codirection du CAP finance de l’ARUC et Joël Lebossé qui avait accepté la présidence du comité communauté de pratique du nouveau CAP. Toutefois, d’autres ressources compétentes et motivées provenant des membres fondateurs se sont ajoutées depuis mais, dès le départ, il a fallu penser une transition. Comme mon mandat de président s’est terminé à la fin de 2010, je laisserai à d’autres le soin de rendre compte des activités des deux dernières années.

Les activités concernant la recherche et l’information n’étaient pas nouvelles, alors que la communauté de pratiques pour le développement des compétences l’était même si elle arrivait en tête des priorités puisque le développement des compétences s’inscrit désormais au cœur de la mission du CAP finance. Comparativement aux autres, ce comité aura à évoluer dans un domaine où l’expérience passée était limitée. Sans doute, le Chantier financement de l’ARUC avait réalisé du transfert de connaissance à l’occasion de séminaires et de colloques. Mais la proposition d’une communauté de pratique suppose une intensité et un approfondissement des connaissances qui exigent un saut qualitatif tant sur le plan du contenu que de l’approche. La production du Guide d’analyse des entreprises d’économie sociale (2004), mise en œuvre par le RISQ et réalisée avec la contribution de la plupart des membres actuels du CAP finance, a bien montré la qualité de l’expertise professionnelle de ce réseau. La participation à plusieurs rencontres des membres du CAP finance, dans le cadre de l’ARUC en économie sociale, m’a permis aussi de voir que les pratiques dans ce domaine relèvent régulièrement d’innovations même si ces dernières passent trop souvent inaperçues. En se donnant comme projet de partager ces pratiques et même de les questionner, on peut supposer que toutes les parties en sortiront gagnantes. Chose certaine, c’est aussi la conclusion à laquelle les représentants des membres fondateurs en étaient arrivés au cours de la démarche dite de planification stratégique. En somme, s’il y a un axe où les membres du conseil d’administration doivent en priorité s’investir, c’est bien dans celui de la communauté de pratique (les autres axes, information et recherche, semblant aller de soi).

Bibliographie

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LÉVESQUE, B., MENDELL, M. CHOUINARD, O., SAUCIER, C. et S. Van KEMENADE (1995), « Les fonds régionaux et locaux de développement: le poids de l’environnement », Cahiers du CRISES, No. 9508, 27p.

LÉVESQUE, B., MENDELL, M. et S. Van KEMENADE (1995). « Les fonds de développement régional et local au Québec », Bulletin d'information. Association canadienne des sociologues et anthropologues de langue française, mars, pp. 15-18.

LÉVESQUE, Benoît, Marguerite MENDELL, Omer CHOUINARD, Carol SAUCIER et Solange VAN KEMENADE (1995), Les fonds régionaux et locaux de développement : le poids de l'environnement, Montréal, Cahiers du CRISES (ET9508), 27 p.

LÉVESQUE, Benoît, Marguerite MENDELL et Solange VAN KEMENADE (1995), « Les fonds de développement : esquisse d'un portrait », Relations, no 607, janvier-février, p. 12-14.

LÉVESQUE, Benoît, Marguerite MENDELL et Solange VAN KEMENADE (1995), « Les fonds de développement régional et local au Québec », dans Bulletin d'information, ACSALF, vol. 17, no 1, p. 15-17.

LÉVESQUE, Benoît, Marguerite MENDELL et Solange VAN KEMENADE (1995), « Les fonds de développement régionaux, locaux et communautaires », dans COTE, S., J.-L. KLEIN et M. U PROULX (sous la dir.), Et les régions qui perdent ? Montréal, Rimouski, Chicoutimi, UQAM-UQAR-UQAC, p. 245-267.

MENDELL, M., B. LÉVESQUE et R. ROUZIER (2001), New Forms of Financing Social Economy Enterprises and Organizations in Québec. Rapport présenté à l’OCDE /LEED Forum sur l’innovation sociale, 29 p.

MENDELL, M., B. LÉVESQUE and R. ROUZIER (2001), New Forms of Financing Social Economy Enterprises and Organizations in Québec. Collaboration entre le Programme LEED (Local Economic and Employment Development Programme), la Commission européenne et le fonds Marshall U.S. pour l’Allemagne. Cahiers de l’ARUC-ÉS (I-03-2001), 48 p.

MENDELL, M., LÉVESQUE, B. et R. ROUZIER*. (2000), « New Forms of Financing Social Economy Enteprises and Organisations in Quebec »,  Cahier de l’ARUC,  I 03 2001, septembre, 48p.

VAN KEMENADE, Solange, Marguerite MENDELL et Benoît LÉVESQUE (1996), « El poder de lo local en una estrategia de desarrollo regional y creacion de emploeo: los fondos de desarrollo en Québec» dans DELFINO, Silvia et Alberto L. BIALAKOWSKY (dir.), Diversidades compartidas. Estudios sociales y culturales en Canada, Buenos Aires, Biblioteca Norte Sur, p. 39-68.

3. Publications à partir de la création de CAP finance 

BOURQUE, Gilles L., MENDELL, Marguerite et Ralph ROUZIER (2009). La Finance responsable au Québec. Portrait, enjeux et défis d'une finance au service d'un développement durable et solidaire, Montréal, Éditions Vie économique, coopérative et solidarité, 124p.

BOURQUE, Gilles, De SERRES, Andrée, HANIN, Frédéric, LÉVESQUE, Benoît, MENDELL, Marguerite, LAURIAULT, Alissa et Régis MILOT (2008), « Le portrait du placement responsable au Québec – Résultats de recherche », Montréal, Cahiers de l’ARUC-ÉS (C-12-2008), 33 p.

BOURQUE, Gilles L., Benoît LÉVESQUE, Marguerite MENDELL, Andrée De SERRES, Frédéric HANIN, Ralph ROUZIER, Alissa LAURIAULT, Tassadit ZERDANI, Régis MILOT (2007), Portrait de la finance solidaire au Québec, Montréal, ARUC-ÉS, 8 p. (Rapport rédigé pour l’Association pour  l’investissement responsable (AIR) en collaboration avec ses partenaires québécois).

COMITÉ INVESTIR SOLIDAIREMENT (2007), « Investir solidairement. Bilan et perspective », Sommet de l’économie sociale et solidaire, 2006,  Cahier de l’ARUC-ÉS, no C-09-2007, 40 p.

BOURQUE L., Gilles et Corinne GENDRON (2003). « La finance responsable : la nouvelle dynamique d’une finance plurielle? ». Économie et Solidarités, volume 34, numéro 1, p. 21-36.

HANIN, Fréderic et Christine ZWICK avec la collaboration de Margie MENDELL et Gilles BOURQUE (2008), Les réseaux des acteurs de l’investissement responsable : enjeux analytiques et études de cas, Montréal, Cahier de l’ARUC en économie sociale (C017-2008), 32 p.

LAVILLE, Jean-Louis, LÉVESQUE, Benoît et Marguerite MENDELL (2006), « The Social Economy : Approaches and Practices in Europe and Canada », Cahiers de l’ARUC, C-11-2006, 46 p.

LAVILLE, Jean-Louis, LÉVESQUE, Benoît et Marguerite MENDELL (2005), « L’économie sociale : diversité des trajectoires historiques et des constructions théoriques en Europe et au Canada, Montréal, Cahiers de l’ARUC, C-12, 2005, 61 p.

LÉVESQUE, B., MENDELL, M., BOURQUE, G. L., ROUZIER, R. ZERDANI, T., BOUCHARD, M. J.  et B. PLANT. (2008). “Le portrait de l’investissement responsable au Québec - Résultats de recherché.”  Cahiers de l’ARUC-ÉS, No. C-11-2008, mars, 30p.

LÉVESQUE, B. MENDELL, M. BOURQUE, G. L. et R. ROUZIER (2005), "Inventaire du financement communautaire au Québec", Résultats parus dans  Revue 2004 de l'investissement responsable au Canada, Association pour l'investissement responsable (AIR), Toronto, avril 2005. Publication à venir dans les Cahiers de l'ARUC.

LÉVESQUE, B., M. MENDELL, AND R. ROUZIER (2003). “Portrait du capital de développement au Québec: une première esquisse.” Économie et solidarité, vol. 34, no. 1, pp. 37-63.

LÉVESQUE, Benoît et Marguerite MENDELL (2003), « Portrait du capital de développement au Québec : une première esquisse », dans Économie et Solidarités, vol. 34, no 1, p. 37-63.

MENDELL, Marguerite et  Rocio NOGALES (2008), « Social Enterprises in OECD Member Countries : What are the Financial Streams? », Cahier de de l’ARUC, C-08-2008, 52 p.

MENDELL, M., S. CHABOT, P. CARON, G.L. BOURQUE, M. BASTIEN, M. TAYLOR, L. VILLENEUVE, C. GUINDON, B. GAUTHIER, A. LAURIAULT, M. MORIN, G. SHIELDS, et R. ROUZIER. (2007). “Investir solidairement. Bilan et perspectives. Rapport du comité Investir solidairement. Sommet de l'économie sociale et solidaire 16 et 17 novembre 2006.” Montréal: Cahiers de l’ARUC-ÉS, C-09-2007, mai, 40p.

MENDELL, Marguerite et Ralph ROUZIER (2005), « Algunas iniciativas que han permitido la institucionalización de la economía social en Quebec: El papel central de la sociedad civil y el papel esencial del Estado ». In Finanzas y economia social. Modalidades en el manejo de los recursos solidarios, Alberto Federico Sabaté, Ruth Muñoz, y Sabina Ozomek (compliladores). Buenos Aires : Altamira, p 439-484.

MENDELL, Marguerite, Benoît LÉVESQUE et Ralph ROUZIER (2003), «New Forms of Financing Social Economy Enterprises and Organisations in Quebec», dans OECD, The Non- profit Sector in a Changing Economy, Paris, OECD, p. 139-168.

MENDELL, M., LÉVESQUE, B. et R. ROUZIER (2003). “New Forms of Financing Social Economy Enterprises and Organizations in Québec” in Noya, A. and C. Nativel. Editors. The Non-Profit Sector in the 21st Century. A Stakeholder for Economy and Society. Paris: OECD, pp. 139-168. Aussi publié en espagnol en 2005:  “Nuevas formas de financiamiento de las empresas y organizaciones de la economía social en Quebec” in A.F. Sabaté, R. Muñoz and S. Ozomek (eds.), Finanzas y Economia Social.  Modalidades en el manejo de los recursos solidarios. Argentina: Editorial Altamira, Fundación OSDE, pp. 439-484.

MENDELL, Marguerite (2005), « Empowerment : What’s in a Word? Reflections on Empowerment in Canada with Particular Emphasis on Quebec », Cahiers de l’ARUC, C-20-2005, 43 p.

MENDELL, M. et B. LÉVESQUE (2003), « Portrait du capital de développement au Québec : une première esquisse », dans Économie et Solidarités, vol. 34, no 1, p. 37-63.

ROUZIER, Ralph, MENDELL, Marguerite et Benoît LEVESQUE (2003), « Symposium sur le financement de l’économie sociale, le 15 octobre 2002 à l’Université du Québec à Montréal : rapport préparé par le CAP financement et le CAP Échanges et comparaisons internationales de l’ARUC-ÉS », Montréal, Cahiers de l’ARUC (T-06-2003), 44 p.

4. Publications de recherche réalisée depuis la création du CAP finance

BOURDEAU, Valérie sous dir. de Marguerite MENDELL (2010), Bilan du colloque : Enjeux et perspectives du Chantier d’activités partenariales (CAP) sur la finance de l’Alliance de recherche universités-communautés en économie sociale, Montréal, 3 et 4 décembre 2009, Montréal, Cahier de l’ARUC-ÉS (C-03-2010).

BOURQUE, Gilles L., Marguerite MENDELL et Ralph ROUZIER (2011). "La finance solidaire: l'histoire d'une nouvelle pratique." Marie J. BOUCHARD (Dir.), L'économie sociale. Vecteur d'innovation. L'expérience du Québec. Québec. Presses de l'Université du Québec, pp. 229-255. 

BOURQUE, Gilles L. (Dir.), MARCHILDON, Allison, CAMPEAU, Louise avec coll. de Johanne BÉRARD (Chaire d’éthique appliquée) et MENDELL, Marguerite, BOURDEAU, Valérie et R. ROUZIER (CAP finance) (2010), Portrait de la finance responsable au Québec, Chaire d’éthique appliquée et CAP finance, 8 p.

BOURQUE, Gilles, Gilles DOSTALER et Benoît LEVESQUE (2009) « Repenser l’économie : introduction », dans Revue Vie économique, Vol. 1, no 1 (2009), 

CAP FINANCE (2011), « Finance et commerce solidaire. Atelier 2 ; Innovations financières de l’économie sociale et solidaire. Un système de finance solidaire et de capital de développement au Québec », Montréal, le FIESS, 7 p.

MENDELL, M. (2010). “Financing the Social Economy in Québec. A Work in Progress.” Making Waves. Special Edition. Capital for Communities, vol. 20, no. 3, pp. 46-50.

MENDELL, M., BOURDEAU, V. ROUZIER, R. MARCHILDON, A.  et L. CAMPEAU (2010). Portrait de la finance responsable au Québec. Rapport préparé par la Chaire d'éthique appliquée, Université de Sherbrooke et CAP finance. Coordination par Gilles L. BOURQUE.

 
Annexe 1 : Liste des professeurs ayant participé à une recherche sur le Capital de développement ou sur la Finance solidaire (N = 20)

BÉLANGER, Paul R., professeur (sociologie), UQÀM
BOUCHARD, Marie J., professeure (sociologie et gestion), ESG-UQAM
COMEAU, Yvan, professeur (travail social), Université Laval
CHOUINARD, Omer, professeur (sociologie), Université de Moncton
De SERRES, Andrée, professeure (finance institutionnelle), ÉSG-UQAM
DESROCHERS, Jean, professeur (finance), Université de Sherbrooke
FAVREAU, Louis, professeur (sociologie), UQO
GENDRON, Corinne, professeure (sociologie), ESG-UQÀM
HANIN, Frédéric, professeur (économie), Université Laval
LACROIX, André, professeur (philosophie), Université de Sherbooke
LAVILLE, Jean-Louis, professeur (économie et sociologie), CNAM, France
LÉVESQUE, Benoît, professeur (sociologie), UQAM
MALO, Marie-Claire, professeure (gestion), HEC
MARTEL, Denis, professeur (finance), Université de Sherbrooke et UQAT
MENDELL, Marguerite, professeure (économie), Université Concordia
M’ZALI, Bouchra, professeur (finance), UQÀM
PAQUET, Renaud, professeur (relations industrielles), UQO
SAUCIER, Carol, professeur (sociologie, développement régional), UQÀM
VÉZINA, Martine, professeur (gestion), HEC
__________________________________________________

[1]   Les membres de ce comité étaient : Margie Mendell, Université Concordia, Stéphane Chabot, Réseau d’investissement social du Québec (RISQ), Pascale Caron, Caisse d’économie solidaire Desjardins, Gilles L. Bourque, Fondaction, Michel Bastien, Fonds de solidarité FTQ, Michel Taylor, Fonds de solidarité FTQ, Lucie Villeneuve, Réseau québécois du crédit communautaire (RQCC) Charles Guindon, Chantier de l’économie sociale, Benoît Gauthier, Table jeunesse de l’Outaouais, Alissa Lauriault, agente de recherche ARUC-ÉS, Magali Morin, assistante de recherche, ARUC-ÉS, Geneviève Shields, coordonnatrice ARUC-ÉS , Ralph Rouzier, professionnel de recherche

 

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CAP finance: bilan et prospective
mars 2013
Au cours des deux dernières décennies, la finance a été dominée par les pratiques spéculatives. Dans ce numéro, nous allons plutôt donner la parole aux acteurs de la finance solidaire et responsable pour qu'ils nous parlent de leurs expériences, de leur bilan ainsi que des enjeux pour l'avenir.
     
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